Après une nuit au sec et au frais, je quitte mes hotes et me dirige vers Portugos, Busquistar et Pitres dans le brouillard. Pas mal de sentiers inondés ont raisons de mes trails. J’arrive ensuite à Notaez, Castares, et Nieles à la mi-journée, les nuages font place à un joli ciel bleu.
Les nombreux champs d’amandiers que je traverse sont tous en fleurs, avec le parfum qui va avec 🙂
Puis passé Lobras, je me trompe et file vers la droite, je perds environ une heure à tenter de traverser un rio, et trouver un passage le long d’une falaise. Et puis je fais demi-tour ^^. Je retrouve enfin le chemin vers Cadiar, qui se trouve en amont le long d’un rio qui avait dévasté une grande partie de la vallée.
Anciennement un champ d’amandier dont ne subsiste que quelques iles … dévasté par le rio.
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Je me pose finalement dans un bar/hotel pour la nuit.
Cadiar orgiva pampaneira
Le lendemain je vais prendre un bus, et en attendant dans un autre bar, j’apprend qu’à cause des inondations et glissements de terrain, plusieurs maisons se sont écroulées, et il ya eu quelques morts … La vieille dame d’Orgiva me revient alors en mémoire …
Après une heure d’attente, un bus arrive et me ramène vers Orgiva par une route de montagne, dévastée par endroits, et qui oblige les voitures à passer une à la fois sans pouvoir se croiser par endroits.
J’arrive finalement à Orgiva et saute dans un autre bus pour Pampaneira, où je passe la nuit.