Et si elle est cachée par les nuages, et que vous ne pouvez la voir, regardez dans les boutiques : vous la retrouverez partout.
Nous en avons donc tenté l'ascension .
Le coucher du soleil, depuis le refuge José Ribas, fut un enchantement…
L'ombre du volcan s'allonge sur le pàramo…
… tandis que les Iliniza se voilent de soie…
Etonnants mélanges de matières – et de couleurs – dans la lumière du matin
Il parait que l'on ne voit pas souvent le Cayambe et l'Antisana: nous avons eu de la chance !
Finalement, l'ascension du Cotopaxi n'est pas aussi anodine que l'on dit : le chemin n'est tracé que dans les éboulis du début, et il faut ensuite progresser dans une neige dure et mélée de pierres, sur une pente tout de même assez raide.
Il parait que les dernières pentes sont sensiblement plus redressées, mais je n'y suis pas arrivé… le souffle était un peu court…
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